Il découvre le théâtre en 1997 dans sa ville natale à Orléans, au théâtre de la Tête Noire.
Sa formation se poursuit ensuite à l’école d’art dramatique Charles Dullin à Paris, trois ans et une approche complète du théâtre (poésie, textes classiques et contemporains, écriture, langage du corps)
Entre Orient (Kazuo Ohno) et Occident (Grotowski) il cherche les passerelles entre la poétique du corps, la naissance du mouvement et le jaillissement des mots (Le Chemin du Théâtre à Paris avec Nadine Abad).
Le personnage de Kata, son univers clownesque est né d’une création collective regroupant quatorze comédiens (Nola Rae, la Menuiserie des Nouveaux Nez).
Son “Grand Départ” est un spectacle qui tournera en Corse après avoir participé aux “Rencontres Théâtrales” de Robin Renucci. C’est un personnage qui évolue sur une frontière étroite : il est familier, mais étrange et intemporel.
Les solos de Kata “Tea Time” et “La Pêche Miraculeuse” ont été programmé dans le Festival International Mimos en en 2004 à Périgueux.
Olivier Parisis développe des spectacles autour de formes poétiques où se mêlent étroitement jeu des mots, langage du corps, chant et musique. Il participe à des spectacles à domicile (2010 — 2011, Gennevilliers, Créteil), concerts intimistes “Le Prince des Orties, Choro Esperanto” soirées de poésies théâtralisées “POE-fem-MES, Quand Monsieur rencontre Monsieur”
Comme comédien de théâtre, Olivier Parisis a joué dans les profils atypiques Koffi Kwahulé, Nadège Prugnard, Louis Dominique Lavigne en 2009 au Lavoir Moderne Parisien puis en tournée au Québec.
Les Nègres de J. Genet à l’Épée de bois en 2006 et à l’Athénée Louis Jouvet (Paris) en 2007.
Richard II de W. Shakespeare au Théâtre de la Ville (Paris) en 2004 puis en tournée en France.
Le Retour au Désertde B.M. Koltes au Théâtre Bastille (Paris) en 2000 puis en tournée en 2001 en France.
Et aussi :
Pour le 50e anniversaire de la mort de Charles Dullin, Smerdiakov et Ivan dans l’adaptation de Jacques Copeau des Frères Karamazov de Dostoïevski, à la Maison de la Poésie (Paris).
Le songe d’une nuit d’été de W. Shakespeare mis en scène par Serge Lipszyc, Le mariage de Figaro de Beaumarchais et Il Campiello de Goldoni mis en scène par Pierre Vial, Gravats de Loic Flameng.